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Chroniques d'une polyscripteuse

~ ou l'écriture en mouvement…

Chroniques d'une polyscripteuse

Archives de catégorie : Divers

Hommage aux « pères » de ma vie !

16 dimanche Juin 2013

Posted by Marjo in Divers, puisqu'il faut en parler

≈ 2 commentaires

pereEn ce troisième dimanche de juin, je ne pouvais faire autrement que de parler de la fête des pères… Savez-vous qu’en France, c’est le fabriquant de briquets Flaminaire qui eut l’idée, le premier, de créer une fête des pères, en permettant d’offrir un briquet à son papa[en 1952… Et oui, sommes-nous surpris? La Fête des pères est née de bases mercantiles…

Mais au delà de l’aspect commercial de la chose, il était de bonne guerre d’instaurer une fête des pères pour faire écho à celle des mères….

J’avais le goût ce matin de partager un petit peu de mes pères à moi, ces hommes d’envergure, solides, protecteurs qui m’entourent ou sont passés dans ma vie.

D’abord bien sûr il y a mon père… Ah papa….. Nous deux ça n’a pas toujours été facile, probablement parce qu’au fond, on se ressemble plus qu’on ne pense… Je me souviens des grands moments d’absence quand j’étais petite, et que tu voyageais aux quatre coins du monde… Mais qui se levait la nuit pour frotter mes genoux qui faisaient mal? papa… Qui venait me chercher à minuit quand j’allais faire la folle dans des partys d’ados? papa… Qui me trouvait des petits refuges pour m’exiler lorsque ca allait moins bien… Encore papa… Ce papa solide, chef de meute, qui encore aujourd’hui, à 80 ans dans deux mois, se tient droit comme le roc, travaille sa terre et parsème mon chemin de conseils… Merci papa… Je t’aime….

Et puis il y eut grand-papa….. Ce personnage à longue barbe blanche qui m’apparaissait mythique lorsque j’étais enfant et que j’ai appris à connaitre… Il est tristement parti trop vite pour moi… Mais ces quelques soirées à l’écouter, à partager cette vie d’une autre époque de cet orphelin qui fit son tour du monde à 20 ans, au début des années 1900…. Mon cher grand-papa, j’ai retenu une parole de toi qui me revient toujours en tête et qui a façonné une partie de moi. « Ma petite fille tant qu’à faire quelque chose, fais-le bien »…. Alors j’essaye, chaque jour de ma vie, de le mettre en pratique…

Et puis le père Noël…. Je ne  m’attarderais pas trop sur ce père que je partage avec vous tous…. Mais c’est le seul de mes pères qui m’a abandonné Du moins, pendant plusieurs années. Quel choc lorsque j’ai appris qu’il n’existait pas. Puis je suis devenue maman et alors j’ai compris… Il se cachait derrière le regard de ma mère, de mon père, ces matins du 25 décembre remplis de cadeaux… Ce père est en chaque parent…

Et Père Paul? ah Père Paul….. Les dimanches matin de messe pour enfant…. Les camps de scouts encore si frais dans ma tête…. Père Paul m’a appris les bonnes valeurs, la spiritualité, pas à coups de menaces ou de péchés mais à coup de cœur, d’amour, de partage… Père Paul m’a appris à grandir…

Et finalement il y a mon chum…. Père et grand-père à sa manière…. Maladroit plus souvent qu’autrement mais oh combien amoureux de ses filles et de ses petits enfants… Il est ce père qui a travaillé fort pour le devenir…. Il est le beau-père de ma fille, celui qui lui ouvre des portes quand je la couve trop. Celui qui fait de moi une meilleure maman….

Bonne fête des pères aux hommes de ma vie xxx

 

La page blanche et alors ?

02 dimanche Juin 2013

Posted by Marjo in Divers, puisqu'il faut en parler

≈ 3 commentaires

page

Me voilà repartie dans un tourbillon d’il faut que… Je dois absolument… C’est aujourd’hui…. Bref, il y a une semaine que je n’ai pas écrit de billet alors la moelle de substance écriturale se doit de dégouliner….

Mais pourquoi? Au fond, si ce qui paraît être un abîme tout blanc et tout profond devant moi n’était que la première note d’une symphonie d’inconnus; qui de trous noirs en pages blanches m’amenait vers un sujet délirant et incontournable à en faire baver Mauriac?

Et si, au contraire, cette parenthèse du réel ne se voulait qu’un moment de solitude où le rebond de la vie, les événements passés, présents, futurs s’amusaient simplement à se confondre pour se tailler une place dans cette réflexion matinale…

Est-ce vraiment important? Si la destination du jour n’était pas le sujet sur lequel élaborer, se questionner, philosopher, mais simplement sur la manière… La démarche…. Un arrêt dans le temps… Au milieu de ce flot de quotidienneté qui nous pousse, tous les jours, à replonger dans un amas de routines pas toujours passionnant mais… disons…..adéquat… qui permet de maintenir un équilibre, si fragile soit-il parfois, entre le : je dois, je veux, j’aimerais…

Voilà…. Ce matin je me suis levée pour me rappeler de ne pas perdre cette qualité de doute, d’inconnu, de frisson qui s’installe avant chaque trait de crayon ou de clavier… Comme un premier amour à jamais renouvelé. J’aime ce vide épeurant de la page blanche qui me permet, l’espace d’un cours moment de n’être qu’avec mon trac… mes idées… mes envies… Loin du devoir et des impondérables de la vie….

Quand les mots se fréquentent sans connaître le but premier de leur rencontre, c’est un magnifique moment ancré dans le temps… En direction d’une des portes du possible…

À l’heure des choix !

20 lundi Mai 2013

Posted by Marjo in Divers, Humeur

≈ 3 commentaires

choixAvez-vous déjà remarqué à quel point les êtres humains diffèrent dans leur façon de faire des choix. Qu’on écoute son coeur, sa tête, son instinct ou encore sa calculatrice, nous avons tous une manière bien différente de faire des choix et d’entamer un processus menant vers un changement.

Il y a le pragmatique pur, qui fait fi des sentiments, qui refuse de laisser entrer des données non quantifiables et qui agit, coûte que coûte, parce que son shéma est inscrit sur le papier ou le clavier devant lui! L’improvisation le dérange…. Lorsqu’il rencontre l’instinctif, qui a cette connaissance ou cette faculté de communiquer avec le fond de lui-même et ses propres besoins, mais qui parfois se laisse aveugler par cette certitude en lui, qui ne tient que peu compte des impondérables de la vie, le carrefour des sens peut devenir étroit…

Il y a celui qui souhaite créer le changement à n’importe quel prix et celui qui le refuse. Et entre les deux, fort heureusement, une multitude de nuances….

Il y a le facteur « mâle » (qui n’est pas réservé aux hommes)  : la testostérone du combattant qui souhaite à tout prix gravir les échelons de la réussite telle que décrite par notre société occidentale : La job du siècle, la maison gonflable, les enfants parfaits… Et il y a le transfert des priorités, le cocon, le nid, la protection des petits, les valeurs transmises d’une génération à l’autre… Même si un matin on se réveille sur une voie de service de cette dite société, mais avec le sentiment bien ancré du devoir accompli, ou du moins, du « j’ai fait ce que j’ai pu ».

Il y a celui qui tourne la page à la vitesse grand V et dont le passé galopant le rejoindra, un jour ou l’autre, à l’orée d’un âge avancé. Il y a celui qui vit les choses quand elle arrivent, qui « choisit », de deuil en deuil, la route à suivre et qui s’éveille au matin, après moultes nuits angoissées avec la paix au coeur…

Qu’ils soient petits ou grands, ces choix qui sillonnent notre vie bouleversent, influencent, déterminent la vie et les choix des autres. L’effet papillon se fait sentir d’un hémisphère à l’autre…

À l’aube de mes propres choix; je ne peux que constater;  la chance que j’ai; de pouvoir choisir….

Arts & Lettres ou la fin d’une époque?

09 jeudi Mai 2013

Posted by Marjo in Divers, politique, puisqu'il faut en parler

≈ 1 commentaire

aNous voilà à nouveau devant une décision oh tellement discutable et qui fait foi d’un raccourci de l’esprit. Je suis une « fan » de communication et, bien sûr, de « culture ». Alors me direz-vous, tu devrais être contente de ce changement de cap du programme Arts & Lettres collégial… Et bien non… Culture et communication avec un amas de concentrations possibles dont : littérature, cinéma, théâtre etc…. À trop vouloir diluer la soupe, on en perd l’essence….

Nous oublions que pour savoir où l’on va, nous devons connaitre d’où l’on vient….

Bien loin de moi l’idée de ramener le cours classique mais sommes-nous obligés de toujours vouloir prendre le bateau de la performance en oubliant l’étude et la réflexion? Je ne suis pas pelleteuse de nuages, je souffre même plus souvent qu’à mon tour de « réunionite aigüe », mais la littérature, c’est l’empreinte de l’humanité dans le siècle qu’elle habite. On veut ramener l’Histoire au programme et je ne saurais être contre cette vertu, mais la littérature classique, c’est aussi l’Histoire, tant avec un grand H qu’un petit et parfois, un tout petit mais essentiel h…

Laissons les esprits de demain voguer sur les mots des autres avant d’eux-même prendre la direction qui leur semblera la bonne. Si le CEGEP a été mis sur pied pour préparer notre belle jeunesse aux choix judicieux de l’Université alors ne leur fermons pas la porte des possibles en leur demandant de choisir une avenue sans avoir au préalable étudier le plan….

TROP ! ou l’adolescence à bout de non-dits…

21 dimanche Avr 2013

Posted by Marjo in Divers, puisqu'il faut en parler

≈ 1 commentaire

plumeTROP

–         Attention

Boum.  Évité de justesse. Pour la troisième fois de la semaine, Dan échappe à l’accident. Perdu de nouveau au fin fond de ses pensées, il marche. Marche en diagonale au beau milieu de cette ville floue, quelque part en Amérique.

Sa dégaine fait peur aux gens. Des boutons à l’orée de l’agonie, des bottes qui se souviennent à peine d’être d’allure cow-boy,  un bout de cigarette humide au coin d’une lèvre asséchée, trop grand, trop maigre, trop… Dan est trop.

Trois semaines d’errance l’ont conduit ici. Où ? Ici. Des maisons, des rues, des camions, des sifflements, des pavés en abondance et des tas de terre abandonnés à l’odeur de défection. Main tendue, il demande la vie, il quête le regard des gens qui fuient. Ils craignent son œil éteint, son dos qui n’en finit plus de finir.

Ses genoux s’entrechoquent, mal à l’aise au milieu de ses jambes arquées;

Efflanqué comme Lucky Luke. Même le soleil refuse de s’y refléter.

« HOMBRE… sans ombre… »

Dans sa tête, des papillons s’envolent. Il s’est trompé de siècle, de monde. Sa vie ? Il la voudrait dans une bande dessinée, héros au cœur malléable, beau, fort entre deux nuages de fumée dans un désert aride; une vie clichée pour adolescent en mal de devenir; il voudrait atteindre le bout de l’arc-en-ciel, la ligne rouge, celle qui semble courbée sur son cheval et qui atteint l’horizon. Galoper au delà des rêves et des cauchemars, puis s’envoler vers le n’importe où, l’ailleurs.

Dan n’est que trop. Trop vrai, trop grand, trop maigre, trop…

***

–         C’est qui mon père ? Tu vas m’le dire. J’peux pus m’endurer. J’m’en crisse que tu brailles, tu vas m’le dire. J’t’ressemble pas. D’où c’est que j’viens ? Pourquoi chu tout seul ? Pourquoi tu m’as fait? C’est qui ? c’est qui ? c’est qui ?

Trop fort. Il a poussé sa mère un peu trop fort. Juste assez pour que la tête percute la vieille table de la salle à dîner. Absence de coups, rechargement du canon de violence. Mal. Le mal à la pointe de l’orgueil, mal.  La vieille table matricide, témoin  silencieux de tant et tant de non-dit.

***

Rouge; vert; stop; céder. Marcher, courir FUIR!!! Les signes se succèdent, il observe. La foule s’interrompt, piaffe, se cabre, trotte, galope, rue et s’arrête à nouveau. Tous ces gens bien dressés… Une deux… Marche,

stop;

SUFFOQUE.

Douleur. Brûlure à  l’abdomen. Faim. Ça pince, ça brûle. Toujours le goût métallique dans la bouche. Souvenir d’une Winchester imaginaire… Bing bang… Tué le Sioux… Comme une fourmi sous le talon désaffuté de sa botte gauche. Son blouson délavé pèse deux tonnes. Quelle heure est-il ? où ? Ici. Des maisons, des camions, des rues.

Tous ces visages qui se ressemblent. Pourquoi,  lui;  semble-t-il différent ? Sa peau trop foncée, trop grand, trop maigre, trop. D’un coup de tête, il rassemble ses cheveux rebelles, trop fins, trop noirs.

« TILT ».

Comme le flipper de chez Joe Bin.

« TILT ».

Son cerveau déraille. Surcharge. « TILT »  « boum » « Tilt »… Déraillement…

***

Qui est-elle cette femme qui pleure à son chevet ? Trop petite, trop pâle. C’est sa mère. Un simple pansement sur le coin de la tête. Trois semaines ont passé, il ne l’a pas tuée, modestement blessée. Sa petite silhouette chancelle sous le poids de la tristesse, mais elle va bien.

Ces tuyaux partout, pour qui sont-ils installés ? Transfuge transfusé. Tous ces tubes défraîchis à bout d’espoir de sauvetage d’une vie ? Ces appareils hydraulico-médicaux témoins d’un siècle aseptisé. Ces corpulentes femmes au teint suppurant qui s’affairent autour de lui. On dirait une bande dessinée en accéléré. La cavalerie, va-t-elle arriver ? Où est la cavalerie ? Tarratata Tarratata … Souvenirs en cascades. Oui. Ces rues, ces maisons,

CE camion!

Attention!

CE camion!

Puis le noir. Black. Negro.  Où ? Ici.

Puis blanc;

tout blanc;

l’hôpital;

Boum;

TILT.

Les doigts s’agitent. Les lèvres vacillent. Dan veut se lever… Le corps ne répond pas.

Trop lourd,

trop usé,

TROP TARD!

Le saviez-vous?

08 lundi Avr 2013

Posted by Marjo in Divers

≈ 1 commentaire

Le saviez-vous  ?
  1. « Le plus long  palindrome de la langue  française est « ressasser  »    On peut donc le dire  dans les deux  sens  
  2.   «  Squelette » est le seul mot masculin qui se finit en «  ette »  
  3. « Institutionnalisation » est le plus long lipogramme en « e »   C’est-à-dire qu’il ne  comporte  aucun « e » 
  4.  « L’anagramme  de «  guérison » est « soigneur  »
 5.  « Où » est le seul mot  contenant un « u » avec un accent  grave    Il a aussi une touche  de clavier à  lui tout seul !
 6.    Le mot «  simple » ne rime avec aucun autre   mot.    Tout comme « triomphe  »,
« quatorze» , « quinze », « pauvre », « meurtre  ,  « monstre », « belge », « goinfre » ou « larve  » 
7.   «  Endolori » est l’anagramme de son antonyme « indolore »,  ce  qui est paradoxal
8.   « Délice  », « amour » et « orgue » ont la particularité d’être de  genre masculin et  deviennent féminin à la forme  plurielle   Toutefois, peu sont  ceux qui  acceptent l’amour au pluriel. C’est  ainsi ! Quoique l’amour tout seul…  c’est du narcissisme
9.   «  Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne  prononce aucune des  lettres : [o], [i], [s], [e], [a],  [u], [x] >   « Oiseau » est aussi  le plus petit  mot de langue française contenant toutes les  voyelles. Eh oui  !
10. «  Indivisibilité » est le mot  contenant le plus de  « i »  Six, un record !

Etre maman…. le plus beau métier du monde…

28 jeudi Mar 2013

Posted by Marjo in Divers

≈ 1 commentaire

nous

12 ans après ce petit + que je n’osais voir sur un engin de plastique tout sauf joli…… Et nous voilà, comme 2 sentinelles à bout de défensive….Ouvrant la voie à l’émotion brute et sans limites du plus beau des duos….

Que je suis fière de toi….  Tu déploies tes ailes en ce printemps tardif, comme un paon encore endormi à demi conscient du magnétisme de ses couleurs….

La boule de vie au fond de ton regard vert me dynamise le coeur ! Et c’est avec la fierté au poing; comme un drapeau affichant la victoire….. Que je te regarde amorcer le chemin qui mène au bout de tes rêves les plus fous…..

Don de soi…

16 samedi Mar 2013

Posted by Marjo in Divers

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Manu, petite Manu

Je n’ai ni richesse, ni joyaux
Ni sagesse, ni lingots
J’aurais voulu t’offrir
Le don de la musique
Mais de la musique je ne connais que le son…

J’aurais voulu t’offrir
Le don de la peinture ou celui du dessin
Le don de la sculpture ou celui du fusain
Mais c’est à d’autres que nous
Que l’on confia ces dons doux

Alors je t’offre ce petit bout de soie
Parce qu’il est le plus fin des tissus
Parce qu’elle est la plus pure des étoffes
Et qu’il symbolisera le don de soi…

Tout au long de ta vie à toi…

Au fil de tes jours et de ton long voyage
N’oublie jamais ton don le plus secret
Car c’est par lui que tu amasseras ta fortune

Celle du cœur qui jamais ne se consume…

Manu, petite Manu
Nous n’avons ni richesse, ni joyaux
Mais nous avons la foi

La foi en toi…

Les Mots

09 samedi Mar 2013

Posted by Marjo in Divers

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plumePetits ou grands ils s’ébauchent de vie sous une plume, un clavier. L’écriture d’un voyou, une coquine, un page ou une comtesse.  Mesquins, ratoureux voir même violents parfois mais jamais désuets.

Même des mots au son doux ont jadis rimé avec injustice, haine, déraison, dérision….
Juifs; nègres; gros; débiles; Femmes…

Ceux qui font le plus souffrir ne sont jamais prononcés.

Ceux qu’on attend sur un quai de gare, dans un aéroport…

Ceux qu’on espère au détour d’un regard, dans un corridor.

Et que dire de ce qu’ils nous apprennent de la culture d’un peuple, de sa façon de s’exprimer…

En français on PLEURE
En anglais on CRY
En français on MEURT
En anglais on DIE

Que d’hommes et de femmes sont morts pour ceux-ci :

Liberté, justice, révolution, égalité.

Oui je le veux….. 4 petits mots qui bout à bout symbolisent l’espoir d’une éternité d’amour… Oui je le veux.

Et puis un jour ; MAMAN. La première fois que ce mot vous est adressé. Maman. N’est-ce pas le plus beau mot du monde?

Et moi ce soir;  j’ai envie de murcrier : je t’aime…

Réveil

07 jeudi Mar 2013

Posted by Marjo in Divers

≈ Laisser un commentaire

plumeLe rideau tombe….. Encore…. Souvenirs trop brefs de ton corps. De ton coeur. Et je m’enchaine a nouveau a ton absence; ton silence….. INCOHÉRENCE.
Un NOUS émerge de deux plénitudes, il valse et tournoie puis les solitudes se redressent au fil du quotidien jusqu’au prochain arrêt entre brume et jardin…..
J’ai l’amour a fleur de poing qui bataille mon ventre et me blesse l’absolu….

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