La communication ?
Mettre en relation. Émettre, recevoir… Se créer des codes afin de bâtir ensemble un message. Je transmets, tu reçois, elle transmet; nous recevons.
Et si le cynisme politique vécu un peu partout sur la planète venait principalement du fait que la communication est devenue, un transmetteur, un émetteur, un message où il y a bien peu de place à l’autre. L’autre, qui a aussi quelque chose à dire, qui écoute, qui prend note, qui subit parfois, mais qui ne s’exprime pas ou du moins, qui cherche le canal de communication pour envoyer son message. À cette époque où l’information voyage si vite, la communication se perd…
Au Québec, on a ces dernières années supprimé plusieurs canaux de communication, des tables de réflexion et d’action, en donnant plus de pouvoir au gouvernement de proximité, les mairies, les MRC.
Je ne porterai pas ici de jugement de valeur sur cette question de pouvoir, mais plutôt sur comment rendre ce fait établit bénéfique pour les citoyens. J’habite Trois-Rivières, une ville de près de 135 000 habitants. Ça en fait des messages potentiels à écouter, à capter, des réalités et des besoins différents, des idées de développement, de la richesse cognitive… Encore faut-il mettre en place des lieux d’échanges.
En ce début d’année, j’ai capté un message qui m’a redonné le goût à la politique. La politique au sens noble du mot : celui de civilité ou Politikos, qui indique le cadre général d’une société organisée et développée. Le choix d’une structure de fonctionnement, de partage d’idées, le fait d’élire des hommes et femmes afin qu’ils nous représentent et défendent nos intérêts et tout ça, pour le bien commun en respect des droits collectifs et individuels. Wow tout un contrat !
Je connaissais déjà un peu l’homme derrière le candidat, mais je me suis mise à l’écouter, à échanger avec lui et j’ai retrouvé ce sourire, cette flamme politique, ce besoin de changer un tant soit peu le monde que j’ai toujours eu en moi, car j’ai su qu’avec lui c’était possible. Comprenez bien le message ici, Jean-François Aubin n’est pas un sauveur, non, c’est un rassembleur. Il a cette capacité de s’entourer, d’écouter, de se remettre en question lorsque c’est nécessaire, de prendre autour de lui ce qu’il y a de bon dans les autres afin de devenir plus fort, plus juste. Il a des valeurs profondes d’équité et de justice sociale. Il est aussi ce visionnaire qui souhaite que Trois-Rivières rayonne d’innovation, de qualité de vie, d’actions posées en accord avec un développement durable. C’est un développeur qui connait aussi bien la sphère économique que sociale.
Au cours des mois à venir, plusieurs espaces de communication seront mis de l’avant afin que tous puissent venir échanger avec lui. L’écouter, certes, mais aussi partager leurs préoccupations, leurs priorités, leur désir de changement, leurs besoins, leur réalité.
Parce que je crois fermement aujourd’hui que c’est possible, bâtissons ensemble une ville à notre image et que la belle Trifluvienne plus que jamais devienne notre fierté. J’appuie Jean-François Aubin.