Parfois j’aurais le goût de dire…
Si nous changions le monde? Remettre nos petites bottes et gravir le possible…. Au diable les réflexions, retourner dans l’action. Parfois j’aurais le goût de dire, la vie est simple et droite… Suffit de ne pas tomber, de marcher sur le bois. Suffit d’un capuchon qui attrape les flocons…. Et puis non, un bonbon; on chasse les papillons…
Parfois j’aurais le goût de dire……
Mais ma main me démange tant je veux te la tendre…. Les chemins s’entremêlent et ravivent le doute. Le bois se casse et fend… Tu es là tu m’attends ? Accroche-toi j’y suis presque mais montre moi la route….
Guérir l’humanité…. En voilà tout un leg…. Je fais quoi ? Je vais où? Mes pieds n’entrent plus dans les bottes insouciantes de l’enfance disparue….
Montre-moi le chemin qui conduit au destin.
Car ma main me démange tant je veux te la tendre….